AION KATALAM

Katalam appelé aussi CATALAN est divisé en trois partie :

KATALAM NORD : LES RUINES D’UN EMPIRE OUBLIÉ

Autrefois, Katalam résonnait des échos d’une civilisation glorieuse, celle du peuple Rhun. Architectes visionnaires, maîtres d’une technologie avancée, ils façonnèrent ces terres à l’aide de leur savoir inégalé. Mais la grandeur attire toujours la convoitise, et le destin de Katalam fut scellé le jour où les ténèbres s’abattirent sur la région.

L’OMBRE DE TIAMAT

Lorsque le Cataclysme bouleversa le monde, Tiamat, avide de domination, tourna son regard vers Katalam. Son objectif ? S’emparer d’une arme d’une puissance inimaginable : Hyperion. Conçu par les Rhun, ce colosse mécanique renfermait une énergie capable d’ébranler les fondations mêmes d’Atreia.

Mais il y avait un obstacle : l’arme refusait de répondre aux volontés de la dragonne. Dans son impuissance à l’activer, elle inonda la région d’Ide, cette énergie instable qui pervertit la chair et l’esprit. Sous son influence, les créatures de Katalam mutèrent, transformées en abominations cauchemardesques.

Désespérés, les Rhun tentèrent de reprendre leurs terres. Ils engagèrent un dernier combat contre les légions de Tiamat, usant de leur propre puissance pour contrer celle du dragon. Mais dans leur empressement, ils commirent l’irréparable : une explosion dévastatrice ravagea la région, consumant leur peuple et laissant derrière lui des ruines hantées par les vestiges du passé.

BERITRA, LE COUP DE GRÂCE

Les Daevas pensaient avoir vu le pire… jusqu’à ce qu’une menace plus terrible encore s’abatte sur Katalam. Après la destruction d’un Hyperion fonctionnel, le sinistre Beritra lança une invasion d’une ampleur jamais vue. Ses armées déferlèrent sur Balauréa, écrasant toute résistance sous leur poigne de fer.

Les Daevas se dressèrent contre lui, mais ils ne purent contenir la marée destructrice. Des explosions cataclysmiques secouèrent Katalam, déchirant ses terres déjà meurtries. L’ancienne région ne put supporter l’assaut. Sous l’effet des frappes répétées et des ravages de l’Ide, Katalam s’effondra, sombrant dans les abysses dans un fracas d’apocalypse.

DERNIER FRAGMENT D’UNE TERRE PERDUE

Seule une partie de cette terre brisée demeure : Katalam Nord. Située au-dessus du Bastion d’Erémion, elle est le dernier vestige de la grandeur des Rhun, la dernière trace d’un empire éteint.

Les ruines de leurs cités s’élèvent encore, témoins silencieux d’un passé glorieux mais tragique. Dans ces terres désolées, les reliques de l’ancienne technologie Rhun attendent d’être découvertes… mais aussi les horreurs mutantes laissées par l’Ide. Les Daevas qui osent s’y aventurer doivent être prêts à affronter non seulement les réminiscences d’un passé maudit, mais aussi les créatures que Beritra et Tiamat ont laissées derrière eux.

Katalam Nord est plus qu’une terre en ruines. C’est un champ de bataille oublié, une relique d’un monde perdu, un sanctuaire de mystères qui n’attend que ceux assez courageux pour les dévoiler.


KATALAM SUD : LES CENDRES D’UN ROYAUME OUBLIÉ

Autrefois, Katalam Sud était un territoire prospère, le cœur battant de la civilisation Rhun. Ses forteresses imposantes et ses technologies avancées témoignaient d’une grandeur aujourd’hui réduite à néant. Désormais, ces terres sont un champ de bataille sans fin, où Élyséens, Asmodiens et Balaurs se disputent la suprématie.

UNE TERRE AUX MYSTÈRES ENFOUIS

Si l’histoire exacte de Katalam Sud demeure voilée de mystère, son héritage est indéniable. Les vestiges des bases et forteresses Rhun parsèment la région, offrant aux factions en guerre des places fortes stratégiques. Mais chaque ruine renferme bien plus que de simples pierres… Certains prétendent que les anciens secrets des Rhun dorment encore sous ces cendres, attendant ceux assez téméraires pour les réveiller.

Pour les Élyséens et les Asmodiens, s’emparer de Katalam Sud représente une opportunité inestimable : un tremplin vers une domination totale sur Balauréa. Mais leur rivalité est loin d’être leur seul problème… L’armée de Beritra, implacable et omniprésente, a établi de nombreux avant-postes dans la région, prêtant à cette guerre une complexité encore plus mortelle.

LES FORCES EN PRÉSENCE : QUI TIRE LES FICELLES ?

Goldrinerk SA – Les Shugo ne ratent jamais une occasion de faire fortune. Profitant de leur neutralité, ils ont infiltré la région pour développer des projets commerciaux lucratifs. Grâce à leur génie logistique, ils ont installé un réseau de voies ferrées, permettant aux joueurs de traverser la carte en toute sécurité dans les zones interdites au vol.

The Merry and Green (Les Joyeux et Verts) – Un groupe d’éco-guerriers Dragonbound vouant un culte aux dragons et cherchant à protéger cette terre. Leurs motivations restent floues, mais leur présence n’est pas à sous-estimer…

Les Pirates de la Steel Rose – Ce groupe de corsaires insaisissables possède des intérêts mystérieux à Katalam Sud. Leurs intentions sont inconnues, mais une chose est sûre : l’or et la puissance les attirent comme des requins sur une carcasse.


KATALAM SUD : LE SANCTUAIRE OUBLIÉ

Sous la surface dévastée de Katalam, un secret ancestral sommeille dans l’ombre… Un labyrinthe souterrain façonné par les Rhun, riche en mines d’Idium et en armes interdites. Jadis conçu comme un abri d’urgence, cet antre souterrain fut le dernier refuge des survivants Danuar, avant que leur propre technologie ne les condamne à l’oubli.

UNE ZONE ÉTEINTE… MAIS PAS OUBLIÉE

Lorsque Tiamat découvrit ces souterrains, elle y trouva des reliques de puissance incommensurable. Fascinée par ces armes perdues, elle tenta d’en percer les secrets… mais sa quête fut stoppée net. Beritra, avide de pouvoir, la trahit et la laissa mourir à Tiamaranta, s’emparant ainsi des connaissances qu’elle convoitait tant.

Privées de leur souveraine, les légions de Tiamat se scindèrent :

  • Certains cherchèrent à restaurer la gloire perdue de leur maître déchu.
  • D’autres prêtèrent allégeance à Beritra, embrassant un nouvel ordre.

Tandis que la guerre s’intensifiait en surface, les profondeurs devinrent un théâtre d’intrigues et de survie, où les derniers Balaurs cherchaient à échapper aux Daevas et aux armées de Beritra.

LE DÉRÈGLEMENT : L’ABANDON DES PROFONDEURS

Lorsque le Dérèglement frappa Katalam, une vague de chaos s’abattit sur la région. Les Daevas, redoutant l’effondrement des structures, fuirent vers la surface, laissant derrière eux les Shugos, derniers témoins d’un monde condamné.

Dans le tumulte, les Daevas firent une découverte capitale :

  • Les Profondeurs Idiennes étaient toujours debout.
  • Le réseau souterrain, bien que fragilisé, recelait encore ses mystères et ses richesses.
  • Des portails secrets furent établis, permettant un accès caché à ce sanctuaire oublié.

UN ROYAUME SANS MAÎTRE… OU PRESQUE

Aujourd’hui, les Profondeurs Idiennes restent une énigme. Seules quelques bannières en lambeaux témoignent du passé sanglant de ces lieux. Mais les ténèbres recèlent encore des menaces tapies, prêtes à s’éveiller à la moindre intrusion.

Quels secrets dorment encore sous Katalam ?
L’ombre de Tiamat hante-t-elle encore ces ruines ?
Et surtout… qui, parmi les factions en guerre, osera revendiquer ce territoire interdit ?


L’APOCALYPSE DE KATALAM

Alors que la guerre faisait rage, un événement cataclysmique se produisit… Les Daevas, dans un ultime acte de bravoure, réussirent à détruire Hyperion, l’arme redoutée de Beritra. Mais ce triomphe eut un prix.

Les pierres de scellement qui maintenaient la structure même de Katalam furent anéanties sous les assauts répétés. Les chaînes qui retenaient cette terre à la surface du monde se brisèrent.

Le sol trembla.
Les cieux se déchirèrent.
Katalam s’effondra.

Dans un chaos absolu, les continents de Katalam Nord et Sud et son sous-sol sombrèrent dans l’océan abyssal, ne laissant derrière eux que des souvenirs, des cauchemars… et des questions sans réponse.



CARTE 
Les trois régions en bas de la carte de gauche en rouge sont katalam. Dans AION 4.8 elles ont été remplacés par SIGNIA et VENGAR.

  • Katalam nord

  • Katalam sud



  • Sous sol de katalam





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